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  * Tom Bodlin + Season of the Witch le 27/06/2013 au Nashville Pub :
Hey, salut !
Ça va, pas trop chaud ? Si, un petit peu quand même ? Ha ouais tant que ça ??!
ET BEN ON S'EN BRANLE !!! Parce que jeudi 27 juin au Nashville Pub ton slibard va s'auto-combustionner !!!
Et ça, c'est historique ... Enfin ça le sera ...

ALORS S'IL VOUS PLAÎT, FAITES-MOI UNE FLAMBÉE D'APPLAUDISSEMENTS POUR TOM ...! < wait for it >



... BODLIN ( http://tombodlin.bandcamp.com ) !!!!
Mais "késsecéTOMeuBODeuLINg" ? Et ça mange quoi en hiver ce bestiaux, hein ?
Parce que oui, en plus d'être le chanteau/saxophoniste de feu Cafe Flesh ( vu que tu es feignant : http://cafeflesh.bandcamp.com ), c'est aussi une sacré bête de scène qui se débrouille très bien tout seul comme un grand !
Pour en revenir au régime alimentaire du bel animal, Tom mange tout ce qui est cuivré, pourvu d'un bec et qui fait 'pouet' quand on souffle dedans, mais pas seulement ...
Halalalala, je te vois venir jeune et fringuant métalleux à la "söyeuse" crinière et au noir t-shirt, prêt à hurler un : "Keumment !!! De la trompeyyyyyytteuuuuu !!!! Encccuuuuuu .... " (bref).
Mais non, calme-toi, saxophones/clarinettes/cors et autres machins à vent ne sont pas obligatoirement synonyme de Madness, Grand Orchestre du Splendid ou générique de Sacré Soirée ... Ne t'inquiète pas, le gazier à la situation bien en bouche !
Je te rassure, Tom Bodlin empile et sur-empile : percussions, guitares, voix brisées/hurlées/chantées/scandées et bien sûr toutes une panoplie de cuivrerie pour t'envoyer en pleine poire un sauvage blues déstructuré et joyeusement foutraque.
En gros, c'est cool, ouais !

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Je m'arrête là et je te laisse lire ces quelques chroniques forts intéressantes à propos de quelques disques du bonhomme, parce que pour sûr "he is man" ;-) :

Source : Nextclues ( 2011 )
"PALAIS DES ENFANTS [CD]
FURNE RECORDS - 2011

Après un Sea Train passé complètement inaperçu et absolument pas acclamé par la critique - deux ou trois chro-copinages mises à part -, Tom Bodlin remet ça. Il ressort l’artillerie de saxos (y en a de toutes les tailles, baryton, alto, soprano, et d’autres en forme de dildo), quelques ustensiles de cuisine, se met des coups de fouet, bats les oeufs, et pond 14 nouvelles compos inapprivoisables, qu’il renferme tant bien que mal dans le Palais des enfants. Titre qui insinue que ce sont ces derniers qui seront les plus réceptifs ? Aucun doute là-dessus, je l’ai essayé à maintes reprises et ça marche à tous les coups. Ils gigotent, piaillent, rient et crient, prennent le canapé pour un trampoline et les rideaux pour une corde d’alpinisme. Ça les rend encore plus pénibles. Merci à toi, Tom Bodlin !

Les plus grands, d’enfants, remarqueront qu’une fois de plus notre homme-orchestre est un boute-en-train qui chante et qui danse, qui fait pschitt et boum boum, qu’il est le seul dans toute la France à valoir une fanfare en délire, une place au cirque, une visite au zoo, un poulet grillé dégusté sur place, dans un camp de gitans, ou une soirée à picoler dans une maison close maquillée en cabaret. Tom Bodlin est un clown qui fait la foire, qui fait tout un jazz en faisant se rencontrer un autre Tom, Waits, et un autre clown, Mingus, et ce serait déjà pas si mal si, sur ce disque, l’esprit n’était qu’à la fête. Tom Bodlin ne s’arrête pas en si bon chemin. Palais des enfants contient également un torero dépourvu de duende après que la danseuse de flamenco l’ait planté pour mieux membré, des lendemains de cuite qui font déchanter, du sang qui monte aux tempes, des coups de folie, des moments de solitude, et toute la tristesse du monde. Pour un cafard qui s’appelle Blues, en anglais. Il y a aussi du swing, de la samba, des chants rockab’, du crooning pas sérieux, et puis, tant qu’on y est, des passages absolument insupportables, comme ce I Want To Kill You Before I Die horriblement répétitif, qui ferait presque espérer que le titre n’est pas qu’une fausse promesse. 31 rue de l’Avenir donne lui aussi envie de se tirer une balle, mais pour d’autres raisons.
Le plus incroyable, dans ce festival de moodswings, c’est que très vite Tom Bodlin nous fait oublier qu’il fait son tintamarre en solo, qu’on devrait être épaté uniquement parce qu’il est seul à tirer toutes les cordes. Celles de la déprime comme celles de l’allégresse, qui fait « pom pom pom pom pom pom » sur Alto feu. Le prodige, ici, n’est pas de mener la barque avec quatre membres. De n’avoir qu’une seule bouche pour souffler dans le cornet et parallèlement gazouiller des absurdités. L’exploit de Tom Bodlin, c’est justement d’aller au-delà de l’auto-sampling, de l’empilage de loops, arme qui semble si souvent être la seule dont disposent bien des one-man-bands. Afin de ne pas s’empêtrer dans une formule rigide, il compose des morceaux aux structures véritables, rythmiquement bien branlés, gavés de phrasés jubilatoires ou démoralisants, en privilégiant le feeling, l’instinct, l’humour et le plaisir simple d’extraire ce qui se trame dans sa petite tête. Tom Bodlin prend un pied pas possible à faire ce qu’il fait, et c’est ce qui s’entend en premier. C’est aussi exactement ce qui m’arrive chaque fois que je fous les miens dans son Palais des enfants.

Sea Train, qui était largement mieux qu’une première tentative - même si, manifestement, Bodlin se sent désormais plus en confiance pour extirper ce qu’il a en lui -, était resté en l’état d’album virtuel. Avec Palais des enfants, on note un pas en avant, puisqu’il est disponible sous la forme d’un véritable produit artisanal, un cd à la belle pochette sérigraphiée. Pour les pauvres péquins qui ne dépensent jamais un rond pour avoir le droit d’écouter de la musique, il est aussi en streaming sur bandcamp, et vu le nombre actuel de « like » de facebook, 235, on peut croire qu’il est déjà largement sold out, vu qu’il a été pressé à 200 exemplaires.
Oui, 200 exemplaires seulement, et c’est le 025/200 qui doit être un des plus usés. Que Tom Bodlin conduise sa petite entreprise en solo et en total DIY - le label qui a aidé à matérialiser l’objet, Furne, étant celui de son propre groupe, Café Flesh -, c’est bien, c’est admirable, c’est beau, on peut lui tirer le chapeau, ça lui donne encore plus de mérite, mais il faut bien dire que, simultanément, ça fait bien chier. Énormément, même. Les gens qui tiennent des labels ont de la merde dans les oreilles ? C’est ce que sembleraient confirmer les multiples démarches infructueuses menées par Thomas - et d’autres qui souhaiteraient bien lui donner un peu plus qu’un coup de pouce. Et je ne parle pas que des petits labels qui s’y mettent à 12 pour qu’une co-co-co-prod soit viable, je pense aussi aux structures mieux établies, celles qui parviennent parfois à rembourser des pressages. Parce que cet album de Tom Bodlin, il ne plaira justement pas qu’à l’initié qui arpente les souterrains d’une musique réservée à ceux qui font l’effort d’aller la trouver. Palais des enfants peut plaire absolument à tout le monde, au prof qui aime le jazz, au punk qui hait le jazz, à la gamine qui n’a jamais entendu de jazz, à la ménagère qui croit que le jazz c’est Michel Jonasz, et surtout à tous ceux qui ne verront pas en Palais des enfants un simple disque de jazz clownesque.
Récemment, il y a trois enregistrements qui m’ont presque donné envie de (re)monter un label avec mon légendaire sens de l’anti-business : le premier Marvin, Sea Train, et maintenant Palais des enfants. Envoyez-moi 1000 pré-commandes et je fais presser les deux albums de Tom Bodlin en double lp. Gatefold, vinyle couleur, trois inserts, lyrics, autocollants, code download vers des démos pas piquées des verts, cd-volant, dvd live, poster de notre héro nu, et une place offerte pour son prochain concert. Ou alors, mieux, réservez votre copie en écrivant à Thomas ( Tombodlin_at_gmail.com ), ou passez directement à son Atelier, à Nantes, lui dire tout le mal que vous pensez de ses fanfaronnades.

[On retrouve Tom Bodlin dans pas longtemps avec Café Flesh et le nouvel album, Lions Will No Longer Be Kings, qui est, autant tout de suite tuer le suspense, absolument top, sauvage et rugueux, comme si Mule et Sweep The Leg Johnny avaient décidé de s’allier afin d’aller donner une petite rouste à AC/DC. (Il contient même une superbe sérénade (en rouge) au piano)]
(10/10)

{Bil}"

Source : Heavy Mental ( 2012 )
"Tom Bodlin / Spit In The Air And Take Out Your Umbrella

Ça, c’est vraiment un petit jeu que j’adorais pratiquer quand j’étais gosse : cracher en l’air pour regarder mes molards retomber. Un petit jeu qui a rapidement été perfectionné : se balader entre potes dans la rue, cracher en l’air puis se mettre à courir à celui qui n’avait pas compris tout de suite pourquoi tous les autres se barraient sans prévenir dans toutes les directions possibles avait une chance sur deux de se prendre un glaviot sur la tronche et de se faire pourrir la vie pour tout le restant de la journée, les plaisirs infinis de la moquerie. Autre variante : cracher en l’air dans les couloirs trop étroits du collège rien que pour voir les filles se mettre à hurler et nous insulter, pauvre gamins même pas prépubères que nous étions et alors absolument pas intéressés par leurs petits nichons qui pourtant commençaient à pointer (mais l’intérêt viendrait bientôt, en même temps que les combats de cocks). Spit In The Air And Take Out Your Umbrella c’est donc le titre du troisième album de TOM BODLIN et même si celui-ci nous conseille in fine de dégainer nos parapluies, ce titre m’a beaucoup fait rire et donc rappelé quelques bons souvenirs.

On avait quitté Tom Bodlin en très bons termes sur un Palais Des Enfants retentissant bien que suscitant un émoi interrogateur et bien légitime : comment se faisait-il qu’un tel musicien aussi inventif et personnel n’avait pas réussi à trouver un label digne de ce nom et avait choisi de publier lui-même son album, sous une (chouette) forme artisanale ? Je ne comprenais pas et d’ailleurs je ne comprends toujours pas. Mais, fort heureusement, l’histoire ne se répète pas : Spit In The Air And Take Out Your Umbrella bénéficie lui d’une sortie digne de ce nom et c’est tant mieux parce qu’il est encore meilleur que son prédécesseur.
Encore meilleur, mais surtout différent. Sur Spit In The Air And Take Out Your Umbrella Tom Bodlin a fait d’immenses progrès et quelques pas de géant. On pourrait regretter le côté plus bricolé de Palais Des Enfants mais on y gagne au change ; le songwriting est le nouveau gros point fort de Tom Bodlin, ce garçon a du faire un pacte avec le diable à la croisée de deux chemins de mulet et signer de son sang impure pour réussir ce subtil et merveilleux équilibre entre sa rage naturelle et enfumée - la vie, quoi - et une finesse d’écriture qui laisse plus d’une fois pantois - la vie, encore. Tom Bodlin écrit et compose de vraies et belles chansons, des chansons dans le sens le plus noble du terme (pourriture noble comme dirait l’autre) et on affirme que Tom Bodlin est un véritable auteur. Spit In The Air And Take Out Your Umbrella est également un album très attachant, mettant quelque peu de côté les tonitruances d’avant et se concentrant sur l’intime, ce qui n’empêche pas ce disque d’être très drôle (la farce Long Stupid Love Song For A Short Weak Love Story a un côté presque batave et réussir à chanter I Love You plusieurs fois de suite juste pour faire rire mais sans être ridicule est un bel exploit). Et cela n’empêche pas non plus Tom Bodlin de réendosser ses habits de vitupérateur comme sur Birds Need Whisky, Waiting for My Love ou sur le crépusculaire Red Cushion en forme de balade pour cow-boy fatigué.
Si Tom Bodlin est un brillant auteur, il est aussi un instrumentiste débordant de ressources et d’idées ; sur Spit In The Air And Take Out Your Umbrella il chante, joue de ses multiples saxophones, de la guitare et de la batterie et il se démerde suffisamment avec tout ça pour se passer désormais de l’usage intensif des boucles - il y a mais cela sonne si naturel... - et on se rend compte également que les saxophones et saxhorns jadis omniprésents sont dorénavant le plus souvent en arrière-plan ou en soutien. Ce qui ne signifie par qu’ils n’aient plus rien à faire ni à dire : au contraire ils deviennent presque fondants et irréels par instant, comme sur le très poétique What The Duck ? et de temps à autres (comme sur Cowboy From Nowhere) apparait un saxophone soprano ou alto qui se lance dans un solo qui n’a rien d’épuisant ou de démonstratif - encore une fois sur Spit In The Air And Take Out Your Umbrella tout est question de dosage et il n’y a que le talent qui ici est dépensé sans compter.

Merci donc énormément à A Tant Rêver Du Roi, Furne records et Kerviniou records de s’être cotisés pour faire publier Spit In The Air And Take Out Your Umbrella en vinyle. Achetez ce disque ou même offrez-le à votre meilleur(e) ami(e) : si celui-ci (celle-ci) ne l’aime pas et bien cela vous fera une excellente raison pour ne plus jamais lui adresser la parole.

{Hazam}"

Tu aimes les sons vintages ? Tu aimes les rythmes chaloupés ? Les bandes sons de série B c'est ton truc ?
Et bien les 5 agathois de Season Of The Witch ( http://www.reverbnation.com/seasonwitch ) devraient assurément te faire voyager où tu veux et comme tu veux !
En effet, le quintet tape dans un registre résolument garage qui sent fort la folk, la surf et le psychédélisme des 30 glorieuses.
De quoi se faire une bonne balade au travers les 50's, les 60's et aller soyons dingues les 70's !!!
Ouais ... La maison ne recule devant rien mon pti' ...

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Bisou caresse et on se voit bientôt !

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