Ils sont italiens, ils sont copains avec des groupes de foire comme Three Second Kiss ou encore Uzeda et ils étaient venus nous régaler il y'a 2 ans déjà ( t'avais bien kiffé ta race d'ailleurs ^^ ) ...
Alors oui, faites un maximum "d'applauses" pour les magnifiques TAPSO II ( http://www.tapso.it ) !!!!!!!!!!!!!!!
Halalalalaa mon dieu mais c'est magniiiiifiiiqqqueeee !!!!!!
Pour ceux qui les auraient loupé en 2011, TAPSO II c'est : une guitare qui feint la finesse pour mieux te casser la bouche avec une voix qui embraserait la plus frigide des mères supérieures, mais aussi une batterie qui claque sec dans la tête au moment les plus imprévisibles et un violon hystérique prêt à déchirer tout ce qu'il lui passe à portée de l'archet !
Autant te dire que si tu ne peux pas venir, tu risques gros ... très très gros ... Parce que Catane, c'est la Sicile ... Et les siciliens faut pas les vexer ( you're talking to me ? ), c'est bien je vois que l'on se comprend ^^ ?!
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Avant que tu fasses l'erreur de ne pas venir, je t'encourage à jeter un oeil à ces quelques chroniques :
Source : Positive Rage ( 2010 )
"Tapso II ont beau venir de Sicile, le soleil semble n'avoir que peu d'impact sur leur musique. Ce trio, à la formation originale (guitare+voix / batterie / violon+orgue) nous livre là un album aussi beau que sombre. Contrairement à ce que pourrait laisser penser l'absence de basse, et la présence d'un violon, les Italiens savent jouer offensif quand l'envie s'en fait sentir. Ils utilisent à merveille leur expérience (Theramin, Jerica's) pour créer une musique bien plus ouverte qu'il n'y parait. Si le duo guitare / batterie domine, le violon, l'orgue et la voix apporte plus de mélancolie. Mais ne nous y trompons pas, Tapso II a beau ne pas foncer droit devant, il rock sans complexe. Faut-il rappeler que la batterie bénéficie d'un son monstrueux. Je ne suis pas étonné de retrouvé Sacha Tilotta (Three Second Kiss) derrière les manettes. Cet homme fait des merveilles. Même si, ici, la voix est étrangement mixée. Très détachée du reste. Cela peut surprendre, notamment sur le premier morceau, mais ce choix apporte une dimension étrange qui colle parfaitement à ce disque. Car en dehors de savoir manier le mathrock ou le noise rock, Tapso II trouve toute son envergure grâce à une profondeur que peu de groupe arrivent à atteindre. On y retrouve la gravité d'Enablers, et la mélancolie d'un Dirty Three (et je ne dis pas ça que pour le violon). Et c'est sans aucun doute cet enracinement rare qui transforme ce premier disque en réussite. Car ces italiens, malgré un début d'album long à se mettre en route, viennent de nous pondre un enregistrement dont ils peuvent être fiers. Et pourtant, autoproduction étrangère oblige, tout le monde risque de passer à côté. Dommage.
[mg]"
Source : Nextclues ( 2010 )
"TAPSO II / ST
Encore un groupe avec du violon ? Ok, peu importe, ça ne fera que la deuxième fois aujourd’hui que je me sers de Dirty Three comme référence. Ça tombe bien, parce que ces italiens, quand ils jouaient encore dans d’autres formations (Jerica’s, Theramin, Mashrooms et 100%, tout ça de mémoire), avaient ouvert pour Dirty Three, de l’autre côté du bout de la botte de leur pays. Dans le temps, ils avaient également partagé l’affiche, entre autres, avec June Of 44, The Make Up, Unwound, Brainiac et si à ça on ajoute le fait qu’ils sont originaires de la ville de Catane, en Sicile, tout comme Uzeda, Bellini et un tiers de Three Second Kiss, ça nous donne tout de suite une petite idée de l’orientation choisie. C’est d’ailleurs Sasha, batteur de Three Second Kiss et fils du couple Tilotta/Caciolla, qui a enregistré cet album sans nom et sans label*, alors que Bob Weston s’est occupé du mastering. Avant même la première écoute, tout ceci ressemble à s’y méprendre à un terrain conquis, et après, c’est le sentiment d’avoir encore découvert un super groupe italien qui domine : Tapso II.
Dirty Three, je ne vais pas insister plus longtemps. La filiation est évidente, mais Tapso II n’a pas à en souffrir. D’abord parce que les sept compos servies à vif ne doivent rien à personne, et ensuite parce que malgré un aspect matheux, Tapso II joue avec une sauvagerie qui fait toute la différence. Qui crée un bon gros bordel, aussi parfois, parce que cet enregistrement n’est pas du genre propret. Au contraire, Tapso II a décidé de laisser dépasser ce qui dépasse, de ne pas prétendre être techniquement plus doué que ce qu’ils ne le sont en réalité, et c’est en partie ce qui fait qu’on se laisse aussi rapidement envahir par cette musique qui garde en elle tous les dangers du live, ainsi qu’une énergie que bien des groupes perdent dès qu’ils entrent en studio et qu’ils ont trop conscience de la présence du micro en train de capturer des sons se faisant immortaliser. Ils ne tombent pas naturellement le tempo pour espérer mieux jouer, ils n’utilisent pas un clic pour rester droits, n’ont recours à aucune tricherie, ils foncent dans le tas, laissent leur musique se nourrir d’elle-même, advienne que pourra, et c’est payant. Parce que justement, il y a du mouvement là-dedans, de l’authenticité, de la spontanéité, la certitude d’avoir affaire à une musique organique, qui ne demande qu’à vivre pour mieux exploser. Et puis aussi et surtout, il n’y a pas que le violon qui soit remarquable dans Tapso II, même si c’est lui qui le démarque des groupes à formation classique et lui donne un son si particulier. Il y a une batterie imposante, qui ne se contente pas d’accompagner la musique et d’appuyer quelques coups, mais qui reste toujours sur le haut du rythme, qui tire le tout vers l’avant. La guitare, elle, peut apporter ce côté matheux que j’ai déjà évoqué quand elle se met en mode « évacuation maximale de notes », mais elle n’a pas qu’une corde à son manche. Selon les besoins des ambiances, elle peut tout aussi bien livrer des riffs tranchants, très noise, très électriques, se mettre en boucle - naturellement, pas besoin de pédale de loop, qui serait trop rigide - ou même parfois, sur les parties les plus posées, servir quasiment de basse. Sur quelques passages, le violoniste troque son instrument contre un orgue, et lors d’un morceau comme The Space Outside, il suffit de relire le titre pour savoir quel nouveau territoire est exploré. Le dernier élément se fondant dans ce tout d’une instabilité excitante, c’est le chant du guitariste. Lui non plus ne répond pas qu’à une seule formule répétée à l’identique morceau après morceau. Il peut être parlé et grave, captivant, chanté avec douceur, gueulé dans une satu, murmuré, ou alors complètement absent, parce qu’il n’intervient que lorsque c’est réellement nécessaire.
Voilà un magnifique premier album de la part d’un groupe totalement décomplexé, qui fait un bien fou.
* ça me laisse perplexe qu’un tel groupe n’ait pas de label, quand tu vois la surproduction de merdes actuelle.
(9/10)
{Bil}"
'Keument' ??! 'Keuoa' ?!
Un groupe de hardcore "vielle école" de Béziers l'Indomptable ? Non, c'est pas vrai ?
Et si mon cono c'est bel est bien la vérité !!!
D'ailleurs, tu n'as qu'à regarder c'est marqué dessus, How it works ( http://howitworkshxc.bandcamp.com ) vont même t'expliquer comment qu'elle marche la photocopieuse, mon pti' lapin !
Le groupe est composé de quelques légendes locales forcément méconnus, tel que le rédacteur de l'antique fanzine musical biterrois : Le Prozy ( http://www.leprozy.com ) et du caissier du plus grand groupe de punk hardcore à roulettes de la ville : Hobophobic ( que ton nom soit sanctifié ... ).
Les HIW ont prévu de nous coller en plus de leurs compos, quelques bonnes reprises de quelques groupes outre-atlantique dont tu connais forcément le nom ...
Donc mon cher petit badass, pense à revêtir comme il se doit ta plus belle tenue de bon voyou New-Yorkais et viens mosh piter jeudi devant le bar du Nashville Pup' !!!
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Fonctionne mal sous Internet Explorer 5.5 et +, pas assez bien sur Firefox 9 et pour les autres navigateurs on a rien branlé alors bon courage.